Accepter le passe sanitaire c’est prendre le risque de mettre fin à nos libertés.
Ce laisser-passer ou « ausweis » que le gouvernement nous impose nous ramène 80 ans en arrière sous l’occupation avec une « kommandantur » gouvernementale.

Ce passe nous est présenté comme une libération mais il est accompagné de menaces et de chantage. Le gouvernement n’hésite pas à affirmer que c’est la porte de la liberté pour tout le peuple à condition qu’il soit vacciné. Mais pour ceux qui refusent, ils n’auront plus aucune vie sociale et leur libre choix est un sophisme car imposer la vaccination est immoral. Un droit moral ne peut détruire un droit naturel.

Ce passe sanitaire ne garantit pas une bonne santé mais une liberté surveillée et étriquée qu’il ne faut pas confondre avec la liberté au sens propre du terme puisque nous sommes encore en démocratie.

Jusqu’à ce jour il est vrai que si le personnel des Hôpitaux avait des vaccins obligatoires c’est uniquement pour protéger les agents de la contamination par les patients qu’ils soignent (tuberculose, hépatite) ; aujourd’hui ce serait eux qui contaminent les patients, quelle hérésie !

La vaccination est le droit de chacun.

L’argent lui ne porte pas le virus et ne risque pas de contaminer BIG PHARMA…

Détruire la liberté de chacun c’est détruire le contrat social.

Le passe sanitaire ne nous rend pas plus libres que la chaîne autour du cou du chien…